Kaza
Messages : 4 Date d'inscription : 31/12/2012
| Sujet: Kaza's here and you'll like it~ Sam 26 Jan - 22:07 | |
| K A Z A
| | Nom : Officiel : Saishuu D’usage : Lancelle Prenom : Kaza Surnom : "Inscrire ici" (oui oui j'me fout d'vot gueule) Sexe : T’ose poser la question ? Age : 24 Road : Ring, mais pas la version tarlouze. Origine : Franco-Japonais
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| L A N C E L L E |
► Physique ◄ |
J E
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Approchez mesdames et messieurs, approchez ! Venez admirer notre spécimen unique de mâle alpha, une belle bête de testostérone et de badassitude. Garantie dépucelleur ou remboursé !!! Un seul coup d’œil à ce jeune homme suffit pour vous rendre folle !! Haut de son mètre 80, il dépasse la plupart des moyennes nationales en matière de taille (surtout parmi les bouffeurs de riz de vot’ genre) propageant sur vous son ombre chaleureuse et protectrice. Sa chevelure blonde comme les blés rappelle ce petit moment de Provence, ce moment d’innocence et de frivolité vagabonde dans la chaleur de l’été et la bonne odeur du pain chaud (dafuq ?). Sa musculature est fine et puissante, résultat d’un long entrainement aux arts martiaux et de séance de musculation. Il est stock, comme disent les jeun’z. Le genre d’homme capable d’écraser l’importun condescendant et ignare avec une facilité déconcertante, quand il ne préfère pas juste l’ignorer. Son visage est aisément rieur si ce n’est moqueur voir sarcastique, ses deux yeux gris acier pouvant tout à la fois être aussi chaud qu’une pierre en pleine été ou aussi froid et mordant qu’une lame. Il se distingue du commun de la plèbe par son style vestimentaire remarquable, pantalon fin mais un peu large, chemise, cravate relâche et veste…ou bien baggy/sweat…ou encore jean/tee-shirt/cuir. En fait c’est suffisamment varié pour être relou a énuméré. Anyway, laissez vos yeux ébahis être époustoufler par la grandeur et le charisme agressif de Kaza, cette puissance sauvage qui…
- Non mais stahp là, STAHP ! Qu’est c’qui c’passe coco, t’as pas les yeux en face des trous ou quoi ? Ça fait dix minutes que tu tailles la bavette et tu racontes que du mytho ! T’as vu sa tronche ? Il a l’air d’être passé sous un bulldozeur en rut ! Des valoches pas possibles sous les yeux, une gueule de déterré, pis le « blond comme les blés » c’est vite dit ! Quoique, après un nuage de sauterelle à la rigueur…
- Roh mais ferme la ! C’est normal c’est une vieille photo, mais c’est tout ce que j’ai alors je fais de mémoire ! D’aurais ressemblé à quoi toi après un cancer des poumons connard ? Alors oui, forcément, il a une sale tronche. Mais maintenant c’est finish, il est guéri et tout. Et même mieux, il est upgrader le bourico.
- Genre un allongement du pénis ?
- Wut ? Mais nan ! Il était déjà monté comme un poney ; non non, moi je te parle de holly motherfuckin’ poumons bioniques ! Genre le mec qui valait dix milliards quoi ! Alors déjà ça pète de raconter ça aux soirées bingo du quartier mais en plus fini les problèmes d’oxygénation ! Pis parce qu’il n’est pas con bah ils sont protégés par un maillage en alu pour pas se prendre une EMP. T’imagine la scène si jamais ça arrivait ? HAHAHA
- Ouais trop lol ! Mais c’est quoi une EMP ?
- Taggle.
- …donc, il ressemble à quoi en fait ?!
- Bah comme au début mais avec des putains de poumons bionique des familles !!
- Ah ouais…ça pue la classe.
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M E
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► Mental ◄ |
K I F F | Essayer de comprendre Kaza c’est comme éplucher un oignon tu vois ? Aucun rapport avec un certain ogre vert, plus un rapprochement aux nombreuses couches qui recouvrent le dit légume (encore une fois, l’oignon, pas l’ogre). D’abord on trouve un bel enfoiré vantard avec l’insulte facile et une extrême aisance dans l’art de la chiantise. Il passe le plus clair de son temps à dragouiller et à charmer les représentantes du beau sexe, le reste consiste en un mélange de passe-temps divers et variés. Mais si on gratte un peu on découvre un mec sympa, le cœur sur la main et près à tout pour ses potes. Le genre de gars qui, même lorsqu’il te vanne méchamment, le fait avec un profond respect et une candeur franchement juvénile. Mais si vous faisiez encore l’effort de le connaître vous découvririez un de ses plus étranges paradoxes, la recherche de la solitude et le besoin de reconnaissance. À ce niveau-là, essayez de ne pas le prendre pour un émo ou quelques bestioles de ce style-là, il ne se complaît pas dans la tristesse et le mélo lourd et gluant, cela fait juste parti de son être. Et pour finir se cache au plus profond une blessure, le genre de blessure qui ne guéri pas, la blessure qui reste ouverte et se rappelle à notre bon plaisir de temps en temps. Le meurtre de sa sœur il y a de cela 4 ans a définitivement changer notre métis, le rendant intrinsèquement plus violent, moins doux, capables de choses qui lui était impossible comme, exemple stupide mais révélateur, lever la main sur une femme. Vous le prenez pour une chochotte ? Alors laissez-moi vous demander, pourriez-vous vivre sans oublier vos pires peines, vos erreurs les plus douloureuses, celle qui vous rappellent à quels point vous n’êtes qu’un misérable humain ? Pourriez-vous vivre en vous souvenant parfaitement, jusqu’aux moindres détails de l’image du corps souillés et sans vie de votre sœur ? De l’odeur de pluie, du désespoir lors de l’enterrement de votre mère ? Ou encore de la douleur d’apercevoir la haine dans le regard de votre père avec vos yeux d’enfant ? Si vous aviez le choix, voudriez-vous de ce fardeau ? Kaza lui n’a pas le choix. Diagnostiqué possédant une mémoire eidétique, il se souvient de tout. De tout ce qu’il a vécu et vivra. Le bon comme le pire. Bon sur ce on pète un coup de on rigole hein !! Pas la peine de se foutre les nerfs en p’lottes et de sortir le xanax. Kaza ça reste un bon gros cassos !
| B I A T C H !! |
► Histoire ◄ |
A I R
G E A R | Bonjour a toi petit scarabée, tu es venue écouter une de mes histoires ? Très bien, mais sache que je n’accepte que l’espèce ou la CB à partir de 15€ ! Ta culotte ? Okay ça m’va !
Notre histoire comme il y a très très longtemps, environ 24 ans ! A cette époque vivait une famille puissante et respectable qui n’estimait que la puissante et la respectabilité. Une seule incartade et la sanction était aussi prompte que cuisante. Cette famille ce nomme Saishuu. Prolongement d’un vieux clan du japon féodal, les Saishuu firent fortune dans de nombreux secteur, faisant preuve d’une chance insolente et d’une constante avancée sur leur contemporain. C’est dans cette famille que naquis un garçon, nommons le Azak. Intelligent et doué, il était destiné à devenir le prochain chef du clan et les mener plus loin qu’aucun de ses prédécesseurs. Une fois suffisamment âgé, il parcouru le monde afin de se nourrir d’expériences inédites. C’est ainsi qu’il arriva un jour en France, pays alors à la réputation resplendissante. C’est chez les mangeurs de baguettes qu’il découvrit l’amour. Une jeune fille, que nous nommerons Kazette, à la beauté éblouissante, héritière d’une noble et redouté famille ne respectant que la noblesse et…la redoutabilité. Ils étaient clairement faits l’un pour l’autre si ce n’était leurs origines respectives. Azak et Kazette furent donc violemment séparés dans leurs roucoulades, dans l’espoir que cette amourette n’entache en rien le prestige de leur parentèle. Azak fut rapatrié au japon, écopant de déshonneur et châtiments alors que sa douce fut elle claquemuré à résidence. Néanmoins le mal - voir mâle - était fait. Kazette était enceinte, au grand dam de...eh bien tout le monde.
Neuf mois plus tard naquit un petit bonhomme qui fut prénommé Kaza. La naissance fut grand bruit malgré les efforts conjoints des deux familles pour étouffer l’affaire. C’est ainsi que notre métis est née, dans le scandale et la honte. Deux choses qu’il s’efforçât tout d’abord de combattre lors de ses jeunes années. Il était convenu qu’il passe la moitié de l’année en France et l’autre au Japon, bringuebalé tel un bagage de chaque côté de globe. Tragiquement, seule sa mère était heureuse de sa naissance, son fils lui rappelant l’homme qu’elle aimait, alors que Kaza ne récoltait dudit homme que des regards dédaigneux. Le formatage familial avait réussi et il avait laissé derrière lui cette période de sa vie. C’est alors qu’il commençait sa scolarisation que Kaza fut diagnostiqué d’une mémoire eidétique. Il faisait montre d’une remarquable capacité à apprendre et faisait preuve d’une grande vivacité d’esprit. Il acquit rapidement de nouveaux savoirs, tant intellectuels que martiaux. Entre temps, son paternel s’était remarié et sa sœur naquit. Cette naissance modifiait alors l’importance du garçon dans sa famille. Il était désormais une gêne, un obstacle entre sa sœur, née de façon respectable, et l’héritage de clan. Néanmoins Yokino, tel était son nom, n’éprouvait pas le ressentiment général envers son frère, les deux s’entendant comme larrons en foire. Ils vécurent de nombreuses années ainsi.
C’est alors que se produisit le premier évènement traumatisant dans la vie de Kaza, la mort de sa mère. Celle-ci était de constitution fragile et avait succombé, malgré une ribambelle de docteur, à une maladie. N’ayant pas d’autre héritier que Kaza, lui fut décidé qu’il devrait dès lors vivre uniquement sur le sol Français afin de devenir celui que l’on voulait qu’il soit. Pas la peine de vous dire que cela se passa différemment. Il fugua à l’âge de 15 ans, vivant sur les économies – un sacré pécule – qu’il avait récolté des années durant et grâce à ses compétences exceptionnels. C’est un peu plus tard qu’il entendit parler de l’Air Treck et du saint royaume du roller à moteur, le Japon. C’était dès lors décidé, il retournait au Japon, avec la ferme intention de foutre le dawa.
Se serait mentir que de dire que tout se passa à merveille, certes il avait longuement vécu au pays du soleil levant mais sans jamais sortir de la résidence villa palais aussi il fut aussi dépaysé que n’importe quel gaijin, d’autant plus que son aspect métis ne l’aidait pas des masses à s’intégrer. Au moins avait-il l’Air Treck, utilisant une paire dégotté dans une des nombreuses boutiques de la capitale nipponne. Et que les nuits étaient agitées dès alors. Sa première rencontre avec un de ses futurs coéquipiers datait d’ailleurs d’un de ses premiers mois de ride : Léandre. Une sombre histoire où le bourrin avait débarqué au milieu d’une conversation et avait essayé de buter un autre jeune rider nommé Eskisse, le tuneur Sam et le frenchie. (Comment je m’en souviens ? Pasque j’suis trop fort.) Toujours est-il qu’ils survécurent tous et que ce n’était pas la dernière fois que le bourrin et le métis se rencontrait. Leur retrouvaille s’opérait d’ailleurs quelques jours plus tard, dans un club branché nomme le Day Dream. Et, pour les férues d’anecdotes, c’est ce soir-là que l’équipe de base des Black and White fut formé. Honnêtement la soirée en elle-même fut légèrement bordélique, beau présage de la futur image de marque des B&W, un mélange de beuverie, verre dans la gueule, baston, baston calmé, mec cramé, cassos maladroite complètement raide, baston relancé et pis le fameux Dead Alive. Tokar pour les intimes. Figure de proue - ou de peu, diraient les mauvaises langues – de la future team, il fit preuve d’arguments percutant pour calmer la fine équipe. C’est ainsi qu’ils rependirent leur légende, surmonté d’une bonne couche de connerie, sur tout le Nightmare. Peu voir aucune autre team n’atteint alors leur éclats si ce n’est Heaven Ghost qui trichèrent en allumant des feux partout dans Tokyo, pour attirer un peu les projecteurs.
Honnêtement la période qui suivit fut peu intéressante, B&W stagna, Sokar laissant même sa place de chef vacante et quand il la récupéra ce fut pour dissoudre la team. Ce qui ne plut pas des masses à Leyna et Léandre et…pas mal de monde en fait. Kaza, pour parler franchement, s’en tamponnait un peu le coquillard. Il avait déjà disparu une fois, le temps d’un été, pour réapparaitre quelques temps avant la dissolution. La période qui suivit à vrai dire, même lui s’en souvient pas des masses, c’est dire. Il rejoignit les Black Star, l’équipe de Léandre, qui s’avéra parfaitement inutile, pis d’autres trucs.
Ce qui nous amène au plus gros pétage de câble de Kaza, la mort de sa sœur. Celle-ci ne tenait pas vraiment à rester cloîtrer en permanence chez elle et trouvait toujours un moyen quelconque de se casser. Sauf que ce soir-là, elle tomba sur une bande de touriste en provenance de pays d’Europe de l’est. Ce qu’ils lui firent est innommable. Lors de cette période Kaza disparu et rare sont les personnes sachant le voyage qu’il avait improvisé en Europe. Il réapparut 3 mois plus tard et étrangement Léandrisé. La suite est plus connue, la création de la zone libre de Shibuya. Travaillant de concert avec Sokar - devenu entretemps King, le batârd – ils bossèrent à l’élaboration d’un paradis du ride libéré des contraintes G-Men et des guerres incessantes qui bouleversaient le Nightmare. D’un point de vue plus personnels, c’est à cette époque que son cancer des poumons atteint un niveau inquiétant. Remarquez que ça n’empêcha pas Kaza de continuer à fumer comme un pompier…Bref, arriva le jour fatidique de l’attentat. En gros, des bombes partout dans shibuya, donc des millions d’innocents, contre quatre otages. Et un choix. Bien entendu les gros bourrins ne prirent même pas le temps de se poser la moindre question et attaquèrent. Les camps se formèrent bien rapidement avec du côté « sacrifions des tas d’innocents pour quatre personnes dont la moitié est déjà crevé »avec…eh bien quasi tout le monde, et de l’autre Sokar, Yomi et Kaza. En gros. Bon Kaza était un peu useless vu qu’il avait pas ses treck mais d’un autre côté c’était qu’un foutu festival de musique à la base. Malgré tout l’autre timbré qui se prenait pour Ezio Auditore fut exploser le Day Dream, détruisant au passage la zone neutre sans qu’aucun des cassos sur roulette ne comprennent la portée de leurs actes. Cet évènement était le départ de la guerre civile qui ébranla le Japon jusque dans ses fondations. La longue guerre contre la rider, la chasse au sorcière d’un autre âge ramené à la vie par quelques inconscients.
Kaza eut la chance de ne pas connaitre ce bordel. Son état de santé s’aggravant, il partit en Amérique afin de collaborer avec les laboratoires du groupe familiale et trouver un moyen de survivre. Il amena d’ailleurs avec lui Eris, la jeune sœur de Sokar, une vraie tête et un vrai corps de folie. Les recherches furent fructueuses et l’opération une réussite et eu même un effet inattendu. Jamais Kaza n’avais réellement eu de road. Il avait un temps emprunté la Flame sans jamais ressentir se sentiment d’appartenance que semblait vivre les autres riders. Et c’est lors de sa convalescence que la vérité lui sauta aux yeux. Il connaissait l’heure exacte sans regarder sa montre. Et nous voici maintenant…eh bien à maintenant, le retour triomphale du fils prodigue !
Maintenant file moi la culotte.
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J A P' |
► HRP ◄ P E D O B E A R | Nom du personnage de l'avatar : Kaza =D Talent particulier ? Casse burne ? Tu aimes les cornichons ? Stoi tu vas aimer mon cornichon biatch. Code de validation : Code validé par the great Soky!…franchement c’est d’un niais !(ouai.. j'trouve aussi m'bon!
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