What the fuck sista? [pv Keiki]

Messages : 110 Date d'inscription : 07/10/2012

"Arrêtez se voleur!"

Et c’est encore et toujours la merde. Non mais, Zan, faudra un jour que tu apprennes à ne pas céder à toutes tes impulsions, mon grand! Mais bon, cette fois-ci, j’espère que tu y donneras tout ce que tu peux, sinon, on risque de morfler sauvage!

Le cri a été poussé par une passante vachement mignonne qui vient de se faire voler son sac à main à l’arrache par un jeune rideur très musclé qui se sert de ses ailes pour voler les passants. Selon lui, les ailes sont des outils permettant d’échapper aux bras de la justice, j’en suis certain. Par contre, quand le bras de la justice qu’on essaie d’éviter se trouve être un meurtrier complétement fou, qui déteste ce genre d’attitude et dont on ignore l’existence, il ne fait pas bon vivre.

ET C’EST LE PLAAAAAAAAAAAAAAAQUÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ MESDAMES ET MESSIEEEEEEUUUUUUURS! Le rider se prend un Zan de plein fouet dans le dos et se retrouve encastré dans une poubelle. Un petit coup de pied dans le ventre pour lui apprendre à vivre et on récupère le sac à main. La scène n’est pas spécialement belle à voir, le malotru c’est ouvert la joue du menton jusqu’à l’oreille contre l’objet de métal, et quelques asticots et vers nauséabond grouille sur le sol, cherchant à retrouver la carcasse de poulet pourrissante à laquelle ils ont été arraché.

La demoiselle regarde la scène avec un air incertain, intimidée par la violence de l’arrêt et par le sang maculant les vêtements de son sauveur. En effet, on voit rarement une tache rouge aussi vive sur le torse d’un t-shirt blanc. Le short de jeans noir et les patins donnent un air plutôt macabre et inquiétant au jeune amnésique, ainsi que les centaines de cicatrices visible sur son corps. Ce dernier se tourne vers elle et lui tend l’objet qu’elle a perdu avant de partir joyeusement sans dire un mot une jeune femme à sa suite.

"ZAAAAN! Tu m’avais promis qu’il n’y aurait pas de baston aujourd’hui! Tu m’énerves quand tu fais ça!"

"T’appelle vraiment ça une baston, Kiku? Ça compte même pas comme un échauffement! En plus, c’était ça ou il allait recommencer, et si c’était Makasu au contrôle, le type s’en serait bien plus mal sortie."

"Humf!"

N’est-elle pas mignonne, notre nouvelle colocataire quand elle boude? Ils reprennent néanmoins leur chemin tout sourire pour aller s’entrainer. Mais un bruit fini par attirer leurs attentions vers une ruelle sombre et qui semble plutôt mal famée. Après un signe pour que la fleuriste reste à l’entrée de l’endroit, Zan s’engouffre dans les ombres de cette allée pour trouver ce qui a fait se bruit étrange. Ce qu’il trouve ne peut que le surprendre! Surtout vue la façon dont il fait la découverte. Ne regardant pas suffisamment ou il va, il se prend les pieds dans une boite qui trainait par la et s’écrase dans un amas de poubelles a son tour. Quelque chose de mou et d’agréables réceptionne se visage et une odeur plus appréciable que le fumet ambiant lui vient au nez. Il se redresse et quitte la poitrine qui l’a protégé lors de sa chute. Ses yeux remonte lentement pour croiser ceux d’une personne qu’il connait bien…

"What the fuck? Qu’est-ce que tu fous dans les poubelles?"

Messages : 10 Date d'inscription : 04/12/2012

La demi-journée venait de se passer et j’allais tenter quelque chose que les rang F ne tentent que très rarement. Pourquoi pas un wallride ? Autant s’entrainer là où il n’y a pas beaucoup de gens. J’étais donc là, face à un mur, dans une ruelle déserte. Que pourrai-je bien faire à cette plaque de béton ? Le wallride bien évidemment. Je fis donc chauffer les roues de mes air trecks et quand le moment fut opportun je m’élançais.

Un mètre, deux mètre, trois mètres…. Ma limite… Je retombais comme une loque, mais une loque à l’esprit libre, j’avais presque réussi mais malheureusement les poubelles me rattrapèrent et je m’y enfonçais dedans, perdant légèrement la mémoire. Qu’avait-il pu bien se passer pendant mon inconscience. J’ouvris les yeux lentement et là un jeune homme me faisait face. Ma vision était trouble mais je pouvais distinguer quelques cicatrices et des cheveux…. Blanc comme la neige… Je m’accoudais sur l’un des sacs poubelle éventré et le regardais de plus près. Approchant mon visage du sien pour que ma vision fasse le point.

Je regardais le jeune homme et souris, c’était bien lui, cela faisait des mois que je ne l’avais plus vu. Je me relevais ensuite et une fois debout je me dépoussiérai, rajustant au passage ma coiffure avant de prendre la parole avec un nouveau sourire, penchant légèrement la tête sur le côté.

« Euh oui tout d’abord qu’est-ce que je fiche dans ces poubelles… C’est tout simple, malgré mon bas rang je voulais voir ce que ça faisait de faire un wallride mais j’ai pas vraiment réussi en fait. Et toi tu fous quoi dans cette ruelle? Je pensais être seule… Du coup ça te dirait d’aller boire un café ça fait tellement longtemps qu’on s’est pas vu »

J’attendais sa réponse avec impatience, et surtout une réponse positive en fait. Après toutes les années que nous avions perdu, une simple petite semaine sans le voir me paraissait devenir une éternité. C’est assez idiot et faible venant de la part d’une chef de clan yakusa mais je ne pouvais faire autrement. C’était un sentiment assez indéfinissable en fait mais j’avais besoin de le voir, comme si lorsque je ne le voyais pas une partie de moi était absente… J'avais donc hâte qu'il me réponde.

Messages : 110 Date d'inscription : 07/10/2012

Ah ouais, là c’est vraiment très étrange. Elle n’était pas supposée être une tuneuse, la sœurette? Elle a décidé de rider à partir de quel moment? Ah oui, la, il faut avouer que nous avons raté beaucoup de trucs important pendant notre séjour en prison.Faudra vraiment trouver un moyen de rattraper le temps perdu, et ça ne se fera pas en une seule journée.

Voilà qu’elle nous invite pour aller prendre un café! La chance, pouvoir aller passer un petit moment sympathique avec la chef d’une famille de Yakusa dont je devrais faire partie. Bien-sûr que nous allons accepter! Par contre, Zan, tu me fais plaisir et tu ne drague pas notre sœur. Elle a beau être canon, tu as le même sang qu’elle et je pense que ça la met mal-à-l’aise…

"Un café avec une beauté pareil? Avec plaisir!" CONNARD! "Donc, tu as envie d’aller a quelque part en particulier? Makasu te passe le bonjour en passant."

Il se relève doucement, fixant Keiki dans les yeux, avant de lui faire un petit signe pour l’inviter à le suivre hors de la ruelle odorante. Le sourire ne le quitte pas, mais une pointe de culpabilité passe dans son regard quand il aperçoit la fleuriste qui l’attend patiemment.

"Keiki, j’ai quelqu’un a te présenter. M’enfin, je te laisse te présenter toi-même. "

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» « Quand l'amour te tourne le dos, touche-lui le cul! » [pv.Keiki]