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 I'm no-one...

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4 participants
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Kaimu Kokujin'

Kaimu Kokujin'


Messages : 11
Date d'inscription : 08/11/2012

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MessageSujet: I'm no-one...   I'm no-one... EmptyJeu 8 Nov - 16:40

I'm no-one... 2012163fpkub01
    Nom : Kaimu
    Prénom : Kokujin'
    Surnom : Yake
    Sexe : Masculin
    Âge : 19 ans
    Origine : Japonaise
    Avatar : Inconnu
    Talent : Mélancolique
    Cucumis-sativusphillie : Non
    Code : Valid' par Yatano
Physique
Traits fins dissimulés sous des vêtements de laine et de coton. Teint pâle contrastant avec le noir corbeau de sa longue chevelure, tombant en cascade légère le long de ses épaules aux muscles secs. Son visage, rappel des traits fins de son corps, en de fine lèvres qui ne se distingue que très brièvement par rapport au reste du visage. Son nez, commun, ne lui donne aucun trait particulier, s'il n'était pas surplomber d'un regard noir, empli d'un désespoir déferlant sa tristesse lorsque vous plongez vos yeux dans ces orbes ténébreuses. Ces cheveux fins ruissellent ainsi le long de son visage aux traits finement marqués sur l'ovale de son visage. Joue creusé légèrement, sourcils assombrit par la tristesse. Un visage banale, parcouru par de banales émotions. Et une chevelure féminine, tombant sur le torse musclé, mit en avance par des cols en V, mais dissimulés sous des écharpes cachant toutes parties de son visage. Son corps, dénué de ces vêtements noirs, est un ensemble de muscle sec, développé sans pour autant qu'on puisse croire qu'il en possède. Il est comme la plupart des jeunes de sa génération. Et ses fesses bien que musclé par les heures de marches, ne se dévoileront jamais de ce jean noir qu'il porte sans cesse, rehaussé d'un pull de la même teinte, lui donnant une allure banalement lugubre. Sa taille, banale, fait de lui un être qu'on ne voit pas et qui ne s'approche guère de la lueur du soleil. Il préfère ainsi rester dans l'ombre, tapissant ses rêves dans la glaciale couverture du désespoir. Baissant ses yeux lorsque l'astre diurne frappe, et les élevant lorsque Lune apparaît. Son teint pâle lui donne ainsi un teint quasi phosphorescent, contrastant avec les ténèbres de chaque partie de son corps. Il pourrait être beau, s'il aimait sourire. Il pourrait être attirant, s'il ne cachait pas son corps. Il pourrait être vu, s'il ne baissait pas les yeux. En bref, il pourrait être quelqu'un, mais préfère n'être qu'un morceau de ténèbres dans l'immensité du néant. Ainsi vit-il le dos courbée, mélancolique, la marche nonchalante et pour consciencieuse à l'idée de bousculer les autres. Il se cache, mais épie les autres, ne voulant apparaître à leurs yeux. Ainsi tout de noir vêtu, une écharpe et des mitaines cachant son visage et ses mains, il vit. Dans les coulisses des spectacles d'autrui, il trouve la force de survivre dans les grains de poussière laissaient par leurs passages.

Psychologique
N'être rien d'autre que la banalité à en soi bien des avantages. Vous êtes à la fois tout le monde et personne, vous-même et un autre, le monde et le néant. Mais lorsque cette banalité vous octroie un ressentit des plus singuliers, tout vous paraît plus hostile. Un toc devient l'amertume d'une vie gâché par la drogue, un mouvement de main la résultante d'un problème de contrôle de soi, un battement de cil trop prononcé se change en début de rage menant au meurtre. Tout est trop puissant pour être accepté et vécu. Ainsi vit-il, comme un autiste en proie à de trop gros ressentit, sauf que cette fois-ci, c'est les autres qui agresse son esprit. Obligé de baisser les yeux pour ne plus avoir à gérer tout cela, se couvrant de noir pour se faire oublier du monde. Ainsi vit-il dans la crainte de l'autre, dans cette peur viscérale de pouvoir déceler en chacune des personnes qui l'entoure, la faille qui fera de lui une proie facile pour cet homme qui ne veut qu'être heureux. Mais il le sait, être heureux dans ce monde, signifie être en contacte avec une personne, qui par un simple geste, ou soupir, pourrait lui montrer qu'au final elle ne rit que par dépit d'autres sentiments en adéquation avec la situation, mais tellement propre à leurs ressentit réel. Effacé du monde, renfermé sur lui-même, il vit sans l'autre, se contentant de jouer de la musique, berçant son âme au grès des notes ou des coups de crayon sur la papier. Les artistes sont souvent des incompris, là, c'est l'artiste qui ne veut comprendre tous les petits aléas comportementale de tous. Qu'importe que les gens comme lui soit célèbre et envié, lui ne désir qu'une chose : vivre paisiblement dans un lieu calme et sauf de toute personne. Calme et doux, il ne se met jamais en colère. Il préfère baisser les yeux et s'éclipser plutôt que de rentrer dans un combat qu'il sait perdu d'avance. Sa relation aux autres est donc chaotique, limite inexistante s'il n'était pas obligé d'aller en cours. La seule compagnie qu'il vient à accepter, sont ses instruments de musique et ses dessins, souvent très sombre, à l'image de son visage qui comme son esprit, ne voit dans le monde qu'une peine à subit jour après jour, cherchant un moyen de s'enfuir de tout cela, une bonne fois pour toute, et se libérer de ses chaînes de perception qui agresse sa vie. La mélancolie, voilà le simple mot pouvant décrire l'état psychologique dans lequel vit notre homme.



The Autumn's Tale
« Je donne mon âme à celui qui veut bien la prendre. Naître, souffrir et mourir pour finir dans les cendres. Je ne veux aucune pitié de qui que ce soit. Ma vie me fait défaut, attend regarde moi. Je n'ai pas cru en une idylle magnifique. Juste un endroit avec des gens atypique. Mais la nature comme la raison transforment les hommes. C'est une histoire de corruption et de mentalité en somme. On ne vit pas tous les jours dans cette amertume si profonde. Même si elle me bouffe un peu plus chaque seconde. Je ne dis pas que vous devriez m'écouter, et encore moins me croire. J'avais juste une envie de partager mes émotions ce soir. Jetez moi la première pierre, qu'importe si des myriade suivent. Je passerai l'âme légère jusqu'à l'autre rive. La connaissance de ce monde n'a pour moi plus d'intérêt. À quoi bon chercher ce que nul ne pourra trouver ?

Alors oui je plonge et tangue au grès des vents. Est-ce un crime d'être aussi insouciant ? Je brise et cumule les déceptions et les égards. Père m'aimeras-tu un peu plus ce soir ? Alors oui je crie et me déchaîne en silence. L'écriture n'est pas un crime quoi que l'on en pense. Cet océan d'idée et de pensée comme seul sanctuaire. Et je me fou de tes commentaires.

Je donne mon âme à celui qui veut bien la prendre. Alors oui je plonge et tangue au grès des vents. Naître, souffrir et mourir pour finir dans les cendres. Est-ce un crime d'être aussi insouciant ?... »


Troisième jour d'automne. Il fait particulièrement froid aujourd'hui. Les gens sont couverts comme en hiver, sauf quelques personnes qui se laissent aller à quelques morceaux de peau déshabillé. Le vent est glacé, mais le soleil très présent. Un contraste entre chaleur et froid qui éveil les sens et me plonge dans une douce sérénité. Je n'ai pas souvenir d'avoir jamais connu une sensation pareille. Mes pas me mène vers le quartier d'Asakusa. Seul quartier où la population ne nuit pas à la tranquillité sonore de ce lieu sacré. Des femmes en kimonos traditionnels m’effleurent en discutant de divers histoires de cœurs. Un sourire se dessine vaguement sur mon visage. Une seule seconde aura suffit pour comprendre les penchants charnelles inavoués de ces deux beautés. Mais un pétale vient à me sortir de mes profondes inspirations. La finesse dont les fleurs de cerisiers font preuves sont tout bonnement incroyable. Face à cet arbre immense, je ne peux que me poser mille questions sur la fébrilité de la vie et de nos existences. Rien. Aucune pensée ne vient pourtant, juste la contemplation d'un aussi puissant sacré se dressant humblement devant moi. D'autres pétales m'effleurent les pensées et un léger sourire vient se dessiner. Je tourne ma main paume face au ciel, laissant glisser dans sa danse un dernier pétale qui vient se nicher au creux de ma peau. Ainsi la nature me permet un instant de contempler son œuvre dans sa plus grande simplicité. Je pourrais parler de probabilité, qu'un pétale d'une telle forme et d'une telle couleur puisse, à la seconde près, avoir eu la force gravitationnelle pour chuter en un schéma propre à ce que je puisse la rattraper par un simple mouvement de main. Mais cela serait parler d'un miracle. Le miracle de la vie. Comment croire que notre existence n'a pas de but, alors que nous sommes nous même des miracles. Je laisse le pétale ainsi s'évader de ma prison d'émerveillement.

Tout se brise. Le vent se déchaîne mais n'a rien de naturel. Figer face à l'arbre, je vois les striures le long de son tronc. Des marques si profondes, qu'elles se donneraient à comparaison avec une série de veine et d'artère, se mélangeant sans ordre véritable. Ce sacré profané par des êtres croyants ainsi laisser une empreinte de leur passage. Je m'avance. Doucement j'approche ma main auprès d'une des trancher funèbres qui sillonne ce bout de nature. Un effleurement pour découvrir le type de patin, la marque et les composants possibles de la platine. L'acte humain n'a pas de limite. Le sacré ne représente plus rien pour eux, et tous cherchent à se différencier par leurs éloignement à la nature. Oublier que nous sommes des miracles pour créé soi-même son sacré. Ma main se pose complètement le long du tronc, alors que mes yeux fermés se voient troublés par quelques visions. La douleur me prend et je m'installe au creux de mes ressentit. Je tente à saisir l'émotion qui peut nous prendre lorsqu'un être dépose sa marque sur nous-même. Lorsque son passage dans notre vie paraît alors comme une cicatrice que ni le temps ni les soins ne pourront effacer. Peu à peu, je ressens la frustration, la peur, la souffrance et la colère. Mes yeux s'ouvrent à l'écoute de ricanement. Derrière moi, trois personnes d'environs mon âge me font face, riant de l'aspect sacré de ma communions avec la nature. Fiers de leurs actes, ils m’injurient et me proposent de connaître le même sort.

Je me fiche d'eux, continuant à regarder et toucher l'arbre pour saisir chaque parcelle de ses émotions. Ils rient, me traitent de fétichiste, de pervers sexuels. Je les entends mais fait abstraction de tout cela. Et les voilà qui m'insultent et m'injurie de leurs actes. Mes vêtements se déchirent, le sang se met à couler et la douleur survint. Frustré, de ne rien pouvoir faire. Apeuré devant l'idée de destruction. Souffrant par le déchirement d'une unité. Ainsi colère nous pousse à vengeance. Mais au final, il ne reste plus que moi, face contre terre, les habits en lambeaux, abreuvant la terre de mon sang s'écoulant. Je regarde alors l'arbre qui me surplombe et je reste silencieux malgré la douleur. Lui que les âges ont rendu plus beau, ne s'est pas plaint d'une telle violence. Faire honneur à son être par le silence de ma souffrance, et me retirer plus fort qu'avant.

Et dans mon départ arrive les hommes. Leurs yeux scrutent la moindre parcelle d'anormal s’exaltant de mon corps. Le sang, les marques de coups et autres lambeaux de vêtements ruisselant sur le sol à ma traîne. Tous me regardent et leurs pensées me brûlent l'esprit. Oui, je me suis fait attaquer par des stormriders, oui, j'ai eu mal, mais non je ne leur en veux pas. Car malgré la souffrance, j'ai pu ressentir la liberté qu'il croyait posséder en leurs actes. Cette persuasion qui leur a fait croire qu'ils n'étaient plus comme les autres, au-delà de tout, alors qu'ils furent mener par les mêmes émotions qu'auparavant. Mes pas me menèrent jusqu'au magasin d'Air Treck où le choix fut fait. HighLeaf taille quarante-trois en cuir noir pour cinq cent dollars cash.

Ou comment acheter sa liberté à un marchant de cauchemars.


"Je donne mon âme à celui qui veut bien la prendre.
Alors oui je plonge et tangue au grès des vents.
Naître, souffrir et mourir pour finir dans les cendres.
Est-ce un crime d'être aussi insouciant ?..."




Dernière édition par Kaimu Kokujin' le Jeu 15 Nov - 12:47, édité 1 fois
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Miyako Watanabe

Miyako Watanabe


Messages : 323
Date d'inscription : 06/10/2012

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MessageSujet: Re: I'm no-one...   I'm no-one... EmptyJeu 8 Nov - 19:47

Bienvenu ! Bon courage pour la suite de ta fiche n'hesite pas a contacter un membre du staff si tu as besoin o/
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Kaimu Kokujin'

Kaimu Kokujin'


Messages : 11
Date d'inscription : 08/11/2012

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MessageSujet: Re: I'm no-one...   I'm no-one... EmptyJeu 15 Nov - 12:49

J'ai terminé ma fiche ^^
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Jikan

Jikan


Messages : 100
Date d'inscription : 06/10/2012

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MessageSujet: Re: I'm no-one...   I'm no-one... EmptyJeu 15 Nov - 16:53

Validey o/ Hellcome =D
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Lucy

Lucy


Messages : 71
Date d'inscription : 14/10/2012

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MessageSujet: Re: I'm no-one...   I'm no-one... EmptyJeu 15 Nov - 18:24

Bieeenvenue =DD
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MessageSujet: Re: I'm no-one...   I'm no-one... Empty

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