Nom : Watanabei Prenom : Miyako Surnom : Miya Sexe : Jamais sans durex Age : 22 ans Road : Fang, retravaillée et rebaptisée comme etant la Slicer Road Origine : Vaginus Mamanus
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► Physique ◄
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La différence et le décalage par rapport aux autres se voit à travers l’apparence physique. Et si certains disent qu’il ne faut pas se fier aux apparences, eh bien c’est exactement le contraire qu’il faut faire avec Miya. Sa chevelure rose marque son envie de s’affirmer différente, pour le reste, elle a une grande cicatrice dans son dos, allant de son omoplate droite jusqu’au milieu de ses reins. La peau très blanche et malgré un regard défiant deriere des iris grises, son sourire, en plus de ses lèvres séductrices en elles-mêmes, lorsqu’il est vrai et affiché de bon cœur, peut en revanche, faire basculer les idées que vous aviez d’elle. Niveau corporel, du haut de ses 1m65 qu‘elle promène fièrement, elle affiche une poitrine acceptable 90B, un ventre plat, et de longues et fines jambes qu‘elle entretient en allant parfois courir, puis une belle paire de hanche. D’un autre point de vue maintenant, elle se porte droite, avec une colonne vertébrale bien en place et non pas zigzinguée comme toutes celles pas fichues de se tenir droite, qui laisse voir des fesses bien rebondies. Elle a un charme naturel. Chose qu’elle entretient en faisant attention à elle. Le plus souvent, vous la verrez arborer des décoltés et des jeans, ou bien des jupes qu’elle ne porte que courtes. Question de gout. Soit t’as une mini jupe, soit t’es en jean. Voilà comment elle voit le style vestimentaire. Ses cheveux, eux, sont souvent coiffés dans une couettes ou un chinions en bataille. Une sorte de faux négligé, mais qui la rend d’autant plus belle.
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► Mental ◄
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Elle a du caractère, la Miya. Plus du genre à t’exploser le pied si tu tente de lui marcher dessus, que de se recroqueviller sur elle-même et hocher béatement la tête. Le passé forge, le passé endurcit. Et selon elle, tous les jeunes de son âge ne sont pas près à la prise d’indépendance qu’engage la majorité. « Ils veulent quitter le nid, et vont s’écraser au sol comme des oisillons infoutus de sortir de leurs cocons adorables à en mourir », voilà ce qu’elle vous en dirait, et c'est ce qui expliquera la violence qu'elle a en elle depuis toujours. Caractère de meneuse, jamais elle ne sera parmi la foule de mouton qui suive une tête. Déterminée, juste, lorsqu’il faut l’être, mais pouvant toutefois être dure, Miya a une personnalité relativement complexe. Pouvant être douce et dure à la fois. Compréhensive et prête à tout pour réussir. Drôle et cynique, encourageante et déprimante, chieuse et cassante, violente et douce. Il faut passer un sacré bout de temps pour réussir à cerner ce personnage.
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► Histoire ◄
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«Et sinon, êtes-vous née? Parlez moi de vous un petit peu.»
Comment résumer une vie en quelques mots... Par un premier cri poussé dans un salon où la mère avait décidé de mettre son enfant au monde, encadrée par tout un corps médical. Ici tout sentait l'argent. Tout était marqué par l'argent. Trois étages luxueux, une éducation irréprochable, les coudes ne se mettaient pas sur la table, pour saucer on utilisait la fourchette pour ne pas avoir à toucher le pain avec les mains, le dos était irréprochablement droit. Je suis née au milieu de tout ça. Au milieu des «Madame le dîner est servi» et des «Monsieur votre banquier vous attend dans le salon». J'étais toutefois heureuse. Ma mère était aimante, j'en étais incroyablement proche. Jamais je n'ai entendu mes parents crier, mon enfance est donc un continuel havre de paix. Une chambre rose. Une mère au parfum rassurant. Un père au sourire extraordinaire. Oui, mon enfance fut un réel havre de paix. L'adolescence est une période qui au delà de toutes les évidences connues, changea ma vie du tout au tout. Une dispute de couple comme tout parents peuvent en avoir, ils ne criaient pas. Faisaient simplement des pas compulsifs, parlaient sèchement. Mes yeux d'enfants ne comprenaient pas comment mes parents qui s'aimaient pourtant plus que tout pouvaient se dire des mots qu'on m’empêchait de prononcer. «Pourquoi» Le seul mot que je pu hurler à mon père lorsqu'il expédia ma mère au sol d'une gigantesque baffe. Je m'étais retrouvée au sol, ne comprenant pas la douleur qui irradiait ma joue, nouvelle souffrance qui allait faire partie de ma vie à partir de ce jour. «Et tu gardera ta gamine!» La porte claqua.
« Mais Miya, où tu étais?!» Je ne lui avais pas répondu. Je ne lui répondais plus du tout d'ailleurs. Sortant. Mes vêtements se noircissaient, se vulgarisaient, j'avais commencé a jurer. A sortir cette mère de ma vie. Faisant baver à la mauvaise personne le départ de mon père, c'est en sortant une fois de plus que je rencontrai Taro. Le coup de cœur dont je me souviendrai toujours. Les cheveux longs jusqu'aux épaules, bouclés, 1m90, les muscles dont je rêvais pour me protéger, pour me choyer. Je fis alors le mur tous les soirs. Il m’accueillait souvent avec une fleur, ou un bijoux. J'étais couverte de cadeau par un homme que j'aimais profondément. Il me faisait oublier la haine que je portais à mes parents d'avoir gâché le cocon dans lequel ils m'avaient enfermés. Dans lequel j'étais si bien. Me faisant retrouver le sourire. C'est tout naturellement que je fis ma première fois avec lui, le moment qui devrait être un des plus beaux partages qu'une jeune fille puisse connaître, un des premiers moments d'amour. Je l'avais choisi, je l'avais trouvé, le prince qui m'avait sauvé. Il m’emmena chez lui pour la première fois. L'état pitoyable des lieux ne m'importait guère, c'est après avoir fermé la porte qu'il me prit dans ses bras, et me porta vers ce matelas dans lequel je douta qu'il avait dormi. S'il ne dormait pas ici, où étions nous? Je chassais cette idée saugrenue de ma tête, et le laissa me poser sur le matelas noirci par la vieillesse. Il m'avait déshabillé sans la moindre délicatesse, guidé par son envie de sexe, je commençais à avoir peur. C'est lorsque nous nous sommes retrouvé nus que j'ai entendu les rires. Ils étaient quatre. Quatre sont passé sur mon corps et m'ont souillé sans le moindre état d'âme, sans le moindre ressenti lorsqu'ils étouffaient mes cris de leur mains crasseuses. La douleur et la peur m'ont probablement fait tourner de l’œil puisque ce qui me réveilla fut une douleur atroce dans le dos. Un miroir. Ils m'avaient balancé contre un miroir, le faisant exploser sous mon corps. Bouger fut ma dernière erreur. J'hurlai.
«Et tu vois, cette cicatrice, ça vient de là» Je remis mon châle sur mon dos nu.
J'avais fugué. Trop honteuse pour rentrer chez moi, je n'avais aucun papiers d'identité alors personne ne su qui appeler lorsque j’atterris à l’hôpital.
*Miya s'il te plaît répond moi... Je suis inquiète pour toi ma chérie...* Je jeta le téléphone au sol, lequel se brisa sur le goudron. Je me stoppai net, regardant la lune se refléter sur les morceaux du téléphone.
«Eh!» Je relevai la tête «Je peux savoir ce que tu fou là? Retourne chez tes parents fillette, il y en a qui bossent!» Je fixai cette ombre qui m'interpella, elle se mouvait bizarrement, anormalement, comme si elle volait. Il y avait un bruit de moteur. Elle s'approcha de moi, l'ombre était une jeune fille, un bonnet sur la tête, des vêtements d'homme. Rachel. «Se sont des trecks, si tu veux je te montre...»
Je n'ai fais que des rencontres qui m'ont marqué, le premier rider que je rencontrai fut Dionysos, le rider au singe sur l'épaule. Il me fit découvrir la magie du trecks en me hissant sur le toit d'un immeuble, il me fit réaliser que moi aussi je méritais de me libérer de ces chaînes qu'on avait entouré autour de mon corps. Le premier trick que j'appris et par conséquent le premier pas que je fis dans le Nightmare, je le fis avec Yatano, célèbre haut rang des Heaven Ghost, une des teams les plus influentes. M’entraînant dans une course contre les mafieux, c'est aussi la première fois que le Nightmare se joua de ma vie, me replongeant dans les cauchemars de mon passé en me mettant face à des hommes, étant pieds et mains liés. Le reste ne fut qu’enchaînement sans trêve: une première part wars que je gagnai par forfait, un rider qui prit les devants de la scène pendant plusieurs mois, le tout se finissant par une pendaison sur la place public, un passage sur une île où des riders furent infectés par un mystérieux virus et où je m'en pris a beaucoup plus fort que moi sous l'emprise d'une sorte de folie où je me souviens avec vu Jack Sparrow, Barbosa ainsi qu'avoir été au contrôle du Kraken. Je réalisa à ce moment là que même si je n'étais pas moi-même, que j'avais les possibilités et le cran dont j'avais besoin depuis le début pour pousser mes limites et faire quelque chose de grand. C'est à partir de ce moment là que les choses se firent étrangement bien, enfin... c'est un grand mot. Je rencontrai le chef d'une team que je convoitais, elle, beaucoup moins que la zone qu'elle avait en sa possession. Je n'ai pas réellement eu le temps de m'occuper de cette convoitise, m'étant retrouvée face au Skin Face, le prince de la horn road Gabishi. J'ai eu droit à mon premier cassage de gueule en beauté, finissant sur le parvis de l'église, sous la pluie à moitié nue avec le rider sur mon corps. Je me suis enfermée mentalement dans une cage pour que je ne ressente pas la douleur que cette rencontre avait engendrée. Et c'est comme ça que la douleur s'était transformée en colère que j’exploitai mal et qui m'aveugla. Je me suis engagée dans un cube, et l'état dans lequel je me trouvai m’offrait un allé sans retour vers la défaite. Et c'est à ce moment là que je constatai que j'avais été saisie en plein vol pour m'écraser au sol.
En décidant de m'éloigner du Nightmare, je crois que je sauva par la même occasion ma vie. Il ne fallut que quelques semaines pour que Kiochi Noburo mette en place une dictature haineuse envers les riders. Tous, ou presque tous les rois furent tué sur la place public. Leur régalias furent saisies et cachées a divers endroits surprotégés de Tokyo. Introuvables et insaisissables. Les riders se turent. Certains reprirent leur vie normale, d'autre s'acharnèrent à continuer à utiliser les trecks, et ce fut eux qui nous sauvèrent tous de la cage qui venait d'être posée sur nous. Pendant ce temps? Moi je continuais de trimbaler mon corps à divers endroits de la capitale. Trouvant cette errance fade et inutile sans les trecks aux pieds. Je n'avais qu'une envie le soir, celle de rentrer et de les chausser. Ridicule, n'est-ce pas? Mes murs sont massacrés. Je n'ai cessé de pratiquer. Les photos des maigres souvenirs que j'avais entreposé sur le mur de mon salon ont été broyées sous mes roues. A quoi cela servait-il de me rappeler du passé s'il m'enfermait comme mes trecks me forçaient a rester chez moi et me battre contre l'ombre qui avait refait surface? L'ombre...oui. Celle qui était devenue une part de moi lors des combats. C'est comme si nous avions été mis dans une boite pile à notre taille à notre naissance, et que nous menacions de la faire exploser lorsque nous commencions à grandir. Il fallait que je ride. Quitte à tout foutre en l'air chez moi. Pour éviter qu'elle ne me détruise. Que je me détruise. J'avais trouvé un boulot dans la restauration, serveuse. Rien de tout cela n'arrangea mon manque cruel de sociabilité. Il fallait que je ride. Il fallait qu'elle sorte.
Jusqu'au jour où il revint. L'être qui m'avait le plus appris par un regard. Par une voix. Le «Nightmare Rebirth » ils volaient. Tous étaient dans les airs. Mes premières larmes en trois ans. Ce boulot ne m'enferma pas. Lorsque les tables se mirent à tomber sous le mouvement des hommes s'élevant, je couru chez moi et relaça avec ma vie. Mes trecks étincelèrent sous le soleil que je crois bien ils n'avaient jamais vu. Et je ridai. Je m'envolai. Une jeune femme m'attrapa le bras, effrayée, hurlant de lui expliquer ce qu'il se passait. Je me souviens lui avoir répondu quelque chose qui me libéra le cœur «Nous revivons.»
«C'est une très belle histoire que vous venez là de me raconter... » « Je sais Maman... je sais... et je suis tellement désolée... »
Je sortais de la chambre. « - Bonjour Mademoiselle ! L’Alzheimer de votre mère s'arrange ! - Alors pourquoi continue-t-elle à me vouvoyer ? »
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Nom du personnage de l'avatar : Megurine Luka Talent particulier ? Est capable de calculer avec exactitude la taille d'une poche de Kangourou a partir d'un emballage de Kiri. Tu aimes les cornichons ? DTC ? Maybe. Code de validation : Sacrée par le grand Yata
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Yatano
Messages : 81 Date d'inscription : 06/10/2012
Sujet: Re: Let the sky be mine. Lun 22 Oct - 19:54
Jolie fiche pour une jolie fille =P Je suis fier de pouvoir te valider =D
Jikan
Messages : 100 Date d'inscription : 06/10/2012
Sujet: Re: Let the sky be mine. Lun 22 Oct - 20:53
Frimeur =P
Moi j'double valide parce que je trouve l'histoire trop classe, jayjay o/
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Sujet: Re: Let the sky be mine.
Let the sky be mine.
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