Désolé du retard...

Nom : Zan
Prenom :
Surnom : Gringalet, le tueur, le choupidou psychopathe
Sexe : Mâle
Age : Entre 19 et 23 ans
Road : Fang, variante darkness
Origine : Japonaise


Pourquoi donc accorde-t-on toujours autant d’importance a une chose aussi peu substantielle, tout en étant souvent complétement artificielle? Avec le botox, les implants mammaire, la teinture, les dentiers et tout le reste, le naturel n’a presque plus sa place. Après tout, les apparences ne sont maintenant plus que les illusions de nous que nous avons envie de donner.

Oui, oui… Je me lance, inutile de gueuler! Bon, Zan est un jeune homme, visiblement majeur depuis très peu de temps, quoi qu’il ne l’est peut-être pas encore, maintenant que j’y pense... Les cicatrices vieillissent les gens, vous savez… Il a les cheveux entièrement blancs, sauf pour la racine qui est plutôt rouge sang. Ses yeux sont plutôt bleu-violet pâle et sont bien centré sur son visage plutôt fin. Malgré la pâleur de ses iris, quelque chose de sombre et de violent se dégage souvent de son regard. Son nez légèrement pointu trône fièrement au-dessus de ses lèvres qui affichent toujours un sourire. Je ne sais pas pourquoi, mais son sourire est rarement franc, sauf avec moi et quelques autres…

Il fait entre un mètre cinquante-cinq et un mètre soixante, et doit bien faire cinquante-cinq kilos. Il n’est pas des plus corpulents, mais il est capable de déployer une force assez surprenante. Je l’ai vue, par exemple, renverser une petite voiture sous le coup de la panique pour éviter à sa chef de se faire écraser. C’est qu’elle est un peu tête en l’air, vous savez… Pourquoi ces petits sourires? Non, je ne suis pas jalouse! Vous allez me laisser finir, oui?

Bon, côté habillement, comme ses couleurs préférés sont le vert forêt, le noir et le bleu nuit, il a du mal à porter d’autre couleur. Heureusement qu’il est mauvais dans les paries, je le force à changer parfois! Il porte habituellement des habits plutôt moulant, car il est plutôt musclé et il est fier de le montré. Ça ou pour attirer les regards, il aime bien l’attention. Sinon, il s’habille parfois à la punk, avec une coiffure à la hérisson. Et pour terminer, ses Ats sont noir, avec les roues bleu-nuit et les laçait vert forêt. Voilà, c’est un peu ce qu’on peut voir de lui quand on le regarde. Ça, et ses cicatrices. Il en est couvert. Plusieurs viennent d’un accident de voiture qui a coûté la vie à ses parents quand il était plus jeune, mais avec le temps, il en a de plus en plus… Je dois être étrange, parce que je trouve qu’elles le rendent de plus en plus séduisant… Surtout celle en forme de croix sous l’œil droit, et celle qui lui barre tout le torse, de l’épaule gauche a la hanche droite.

Sa façon de voir la vie? Bon, c’est plus compliqué qu’on le pense. La description de Zan, ou de Makasu? Parce qu’une chose que j’ai appris de lui en vivant avec lui, c’est qu’il n’est pas seul dans sa tête. Il y a Zan, le garçon doux et tendre avec les gens qu’il aime, prêt à se battre et donner sa vie pour eux. Puis il y a Makasu, le fils de Yakuza, plus rude et violent, protecteur avec les gens à qui il tient, mais il ne donnerait pas sa vie pour eux. Il démembrerait et violerait volontiers toute personne étant un danger pour nous, par contre.

Mais bon, je vais tenter de mieux les décrire tous les deux, et de ne pas prendre trop de temps pour le faire. C’est que je dois encore m’occupé de mes clients.

Premièrement, Zan. C’est un garçon étrange, mais fortement attachant. Presque tout le monde l’aime dans le quartier. Il achète souvent des jeux vidéo, il les tests et, s’il ne les aime pas et moi non-plus, il les donne aux enfants des alentours. Quand nous avons fini de nos jeux, il les donne aussi, comme si la question de possession ne l’intéressait pas. Il est amnésique et pas qu’un peu. Pendant quelques années, il avait oublié jusqu’à son nom et son passé. Maintenant, il se souvient qu’il s’appelait Makasu à une époque, mais qu’il n’est pas cet homme en même temps. Ils sont trop différents. Il a le cœur sur la main et il est d’une douceur que les gens n’imaginent pas, mais il n’a rien contre la violence mérité. Il a été arrêté pour meurtre d’ailleurs, mais il a vite été relâché puisqu’il n’était pas majeur. D’ailleurs, il n’a pas la moindre idée de son âge véritable.

Makasu, lui, est plus physique. Il est apprécié dans le quartier aussi, même si les gens ont peur de lui. Ils ont appris à les différencier grâce à leurs yeux. Zan a les yeux plus bleu, Makasu les a violet. Quand il est en contrôle, Mak est plus protecteur de tout le monde, et aide plutôt dans les boulots physiques. Quelqu’un a besoin d’aide pour monter une lourde commode chez lui? Il aidera sans dire un mot et sans rien demander, en refusant même toute récompense. Quelqu’un se fait taxer dans une ruelle, il brisera le bras du taxeur et l’assommera contre le mur avant d’engueuler la victime et de lui proposer de lui apprendre à se défendre.

Ce n’est pas tout ce qu’il y a à savoir sur eux, c’est sûr, mais il y a des choses que je ne peux pas vous décrire et que vous devez découvrir par vous-même. J’espère que vous les apprécierez autant que je les apprécie. Maintenant, excusez-moi, je retourne m’occuper de mes clients!

Entrevue d’une fleuriste nommé Teikutsu Kikumi, amie et collocataire du-dit Zan.


Une douleur atroce, cruelle, glacé et brulante a là fois. Une fumée noire s’élevant à l’assaut du ciel dans lequel quelques nuages flottent tranquillement. La dureté du sol et la douceur de l’herbe sous son dos, ainsi que le bruit des flammes. Une odeur horrible, agressant, une odeur de chair brulée. Voilà les premiers souvenirs de jeune homme frappé d’amnésie. Son nom, ses origines, son statut social, rien ne lui revenait à ce moment. Un vide complet, inquiétant et oppressant se faisait sentir a la place de son passé. Le néant absolu et terrifiant.

Prenant son courage à deux mains, il c’était levé, couvert de sangs et de boue, pour se mettre en marche et rejoindre la ville la plus près. Pendant des heures, il n’avait vu que des arbres, des pierres, de l’herbe et une route. Le moment où il avait trouvé un mur, son nom lui était apparût, un mot unique, pur et violet sur un fond noir ; Zan. C’était, à ses yeux, le plus beau graffiti qu’il n’avait jamais vu, et ça le reste à ce jour.

Suite à cette découverte, il fit la rencontre de son premier ami. Un idiot fou des arts-martiaux qui le prit sous son aile et l’invita même dans sa famille après l’avoir emmené et l’hôpital et avoir payé pour ses soins. Zan y trouva trois personnes très importantes pour lui. Encore aujourd’hui, il considère cet homme et les deux filles avec qui il a vécu un moment comme son frère et ses sœurs. A tel point qu’il a fini par commettre ses premiers meurtres, trois hommes qui se réunissaient dans une ruelle et préparaient un plan pour tuer son bienfaiteur.

Un jour, son "frère" lui fit un cadeau impressionnant ; un appartement de luxe dans le quartier Asakusa. Incapable de simplement accepter un tel cadeau, le jeune rideur amnésique n’a eu d’autre choix que de "travailler" (comprendre ici voler) pour réunir une somme satisfaisante pour acheter l’endroit a son propriétaire légitime.

Durant son temps de ride, quelques autres cadavres se sont ajoutés aux trois premiers. Un type qui lui avait avoué avoir tué de jeunes rideurs, un yakuza et un innocent sur qui il a passé sa première rage sans nom. Mieux valait que ce soit sur un inconnu mort sans souffrir, la nuque brisé, que sur un ami qui se serait défendu et aurait trop souffert.

Après un moment, le blanchon est entré dans une team nommée Everything & Anything. Il s’y est fait plusieurs amis, notament Jikan et Lisane, les dirigeant de la team en question. Une autre personne avait rejoint le groupe en même temps que lui, mais elle n’est pas restée très longtemps. Un mois tout au plus. Étrangement, Zan n’a jamais réussi à se s’intéresser beaucoup à elle. Une autre a fait partie de E&A pendant un moment. C’est d’ailleurs l’amnésique qui l’avait invité. Sa copine du moment, relation passionné et surprenante de par la rapidité de la chose.

Quelque mois après son intégration dans ledit groupe, la veille de noël, cet attroupement de rang E a été pris d’assaut par un psychopathe rand S. Les ravages ont été considérables, tout le monde c’est retrouvé à l’hôpital. Les deux plus touché furent les deux hommes de la team. C’est à ce moment que le groupe perdi son premier membre.

Une rencontre inopiné provoqua le retour graduel de sa mémoire, retour qui n’est toujours pas complet aujourd’hui. La chef de la famille Hakumei, Keiki Hakumei, est entrée dans sa vie. Sa sœur biologique qui, suite au décès de son père et de sa mère, a dût prendre le contrôle de la famille Yakuza dans laquelle elle était née pour ne pas être donnée en mariage au fils d’une autre famille. Ce qui l’a le plus amusé dans l’histoire, c’est que la sœurette fait aussi partie du monde du nightmare ; elle est tuneuse.

Après quelque temps, sa relation avec sa copine est allez en se surissant de plus en plus. Adepte tous deux de liberté, la demoiselle semblait prendre cela un peu trop au pied de la lettre. Est-ce que Zan était cocue? Il ne le sait pas et ça ne l’intéresse pas du tout de le savoir. Par contre, voir sa copine une fois tous les trois mois pour une fin de semaine de douceur et de tendresse alors qu’ils vivent à moins de dix minutes l’un de l’autre, cela ne pouvait pas lui aller. S’il comptait s’impliquer dans sa relation, il attendait la même chose de sa flamme, mais ça ne lui a jamais été rendu. Il a donc, de lui-même, mit fin à la relation, ce qui a provoquer un nouveau départ au sein de la team.

Mais cela ne découragea pas notre fidèle célibataire! Il invita une nouvelle personne dans la team, Kayn, qui se serait invité à sa façon de toute façon. En effet, mister Sacrifar c’était pointé au QG de la team avec, pour salutation, un simple "Bonjour! Alors, j’viens vous allumer, alors venez tous en même temps!" Une chaise brisé sur la tête et un table brisé sous lui plus tard, Zan l’avait intégrer dans le groupe et tout le monde l’accueillaient à bras ouvert! Surtout l’ambulance…

Quelque deux mois plus tard, mois durant lesquels la team finissait de se remettre de sa rencontre avec un King plutôt violent, l’amnésique se fait mettre en prison pour une partie de ses meurtres. Trois sont, encore à ce jour, inconnu des gens. L’arrestation, plutôt musclée, il faut l’avoué, c’est malgré tout plutôt bien passé. Il n’y a pas eu de blessé ni de mort, seul quelques portes enfoncé et une tasse brisé parce qu’on ne lui a pas laissé le temps de finir son thé.

Durant son séjour en prison, il n’a pas reçu la moindre visite. En effet, il avait appelé Lisane pour l’avertir que Keiki le kidnappait pour quelque mois, pour voyager de par le monde histoire de profiter un peu de leurs retrouvailles. Et Keiki, elle, n’a jamais appris qu’il avait été emprisonné. Il restait peinard dans sa cellule à lire quelques bouquins que certains prisonniers lui apportaient.

Il n’a eu de problèmes qu’une fois durant les neuf mois de son emprisonnement. Le type le plus gros, le plus fort et le plus dangereux est venu lui chercher noise et tenter de le violer. Malheureusement pour lui, Makasu est ressorti et lui a prouvé que la grosseur et la force musculaire sont surestimé. En effet, depuis son accident, le rideur n’a plus le limiteur mental que tout le monde a et qui les empêche d’utiliser pleinement leurs muscles. Lever le type d’une main tout en lui brisant le bras de l’autre, avant de le frapper à l’estomac, l’obligeant à rendre son déjeuner et à cracher le sang était chose facile. Plus personne ne voulait se frotter à lui par la suite…

Quand il est sortie de son séjour au frais de l’état, il a appris qu’une rafle de rideurs c’était opéré à peine trois mois avant sa libération. Jikan c’était tiré à Londres comme un lâche, aux yeux de Zan. Lisane, quant à elle, avait été arrêtée à son tour. Kayn, lui, était toujours libre comme un oiseau dans une cage qu’on appelle couple. En même temps, vue la personne en question, on ne lui en veut pas de faire profil bas un moment.

Le gringalet fit profil bas à son tour, préparant quelques coups contre le G-Men et le président. Il envoya quelque lettres dans lesquelles il avait mis de la farine et photocopier quelques pages du coran. Quelques alertes à l’Anthrax, c’est toujours amusant pour s’en prendre à une tel bande d’abrutis fini. Bien sûr, il avait pris soin de porter des gants lors de la manipulation des enveloppes et des timbres, ainsi que pendant les photocopies et l’écriture. Une adresse factice pour compléter le tout et les autorités n’ont jamais pu remonter jusqu’à lui.

Quelques visites éclairs en prison pour aller voir sa chef se sont soldé par des grands sourires, des discutions intéressantes et une envie de frapper le visiteur. Les cadeaux de boites de biscuits, de sac de pommes et d’oranges ont fait plaisir, mais la plaisanterie du playgirl ne l’a pas fait autant… C’est triste, non?

Le jour de la libération des rideurs, Zan avait un plan machiavélique, cruel et sanglant derrière la tête. Vue les risques pour les civils et les policiers présent, une grande partie du G-Men devait se trouver sur les lieux, laissant un commissariat complétement vide, sauf pour une téléphoniste. Apportant de la peinture et un costume camouflé, cachant son visage, notre jeune idiot c’est permit d’aller faire un graffiti sur le mur ouest de l’établissement. Une belle blonde, nue, les yeux bleu ciel, avec un grand sourire, disant "Ici, tout le monde se fait défoncer autant qu’ils le souhaitent, moi la première!" Comment a-t-il fait pour ne pas se faire prendre? Il ne le sait pas lui-même, mais il est fier de son dessin!

Le lendemain, une jeune demoiselle perd son grand-père et sa grand-mère dans une fusillade. Kikumi, n’ayant pas l’argent pour garder la maison, se voit dans l’obligation de la mettre en vente pour pouvoir garder sa boutique de fleur. C’est difficile pour elle, mais elle ne se laisse pas démonté par la chose. En effet, elle trouve aussitôt un autre logis. Son meilleur ami, Zan, l’invite à venir vivre avec lui sans avoir quoi que ce soit à payer, sauf ses études et le loyer de sa boutique. Leur relation, qui était déjà un peu plus de l’amitié, devient encore plus intense, même s’ils ne sont pas en couple. En même temps, ni l’un ni l’autre ne veut se lancer dans une relation sérieuse pour le moment.

Lors des funérailles, C’est un Zan bien sombre qui n’est pas présent, mais un Makasu en colère qui apparait. Pour la première fois de sa vie, Kikumi a eu peur de son ami. En effet, les gens qui ont tué sa famille se présentent devant elle pour s’excuser. Jusque-là tout va bien, mais notre Yakusa de naissance découvre qu’ils ont été payés pour faire le boulot et pour le faire passer pour un accident. La demoiselle, ignorant tout de la chose, le suit toute la journée, triste et ayant besoin de réconfort, pour découvrir qu’ils se dirigent vers une usine abandonné dans un coin délabré de la ville. Ils y trouvent les deux énergumènes ainsi que leurs employeurs s’amusant de la naïveté de la jeune femme. Un bruit attire lors attention, une tige de métal travers le crane des deux assassins et se plante dans une pièce de machinerie délaissé. S’ensuit un questionnement sanglant durant lequel la fleuriste pleure toute les larmes de son corps tellement la peur la prend au ventre, puis la mise à mort du troisième homme.

Makasu, à force de lui parler doucement, sans la brusqué, assis devant elle sans la toucher, arrive à lui faire comprendre les deux personnalités qu’elle a face à elle, ainsi que le fait qu’il vient de lui sauver la vie. Elle était la suivante sur la liste des trois hommes. Elle accepte de ne rien dire à la police, ainsi que de ne pas s’éloigner de lui, autant pour sa protection que par peur. Un grand froid s’installe entre eux pour un long moment.

Ce froid reste pendant quelque trois mois, trois long mois pendant lesquels Zan ne sait plus ni ou se mettre, ni quoi faire pour voir leur relation redevenir ce qu’elle était. Un soir, il décide de l’obliger à s’assoir avec lui et de l’écouter. Si depuis le froid, elle ne lui adressait presque plus la parole, pour sa décision, c’était parfais. Il lui a raconté son histoire, depuis son éveil dans le champ, sans rien omettre. Il lui parle de la douleur de ses blessures, de la douceur de sa vie chez son ami, de l’horreur d’une vie sans passé, des meurtres qu’ils a commis et pourquoi, de ses relations amoureuses qui se sont toutes plus ou moins mal terminé, de sa vie dans le nightmare, de sa team, de ses passe-temps, ses passions, de Keiki et, plus que tout autre chose, de l’importance qu’elle a pour lui plus que tout le reste. Pendant un moment, ça ne semble pas l’affecté du tout, mais quelque cinq jours plus tard, elle a recommencé à s’ouvrir à nouveau à lui. Deux mois plus tard, une certaine peur de Makasu reste en elle, mais plus pour sa sécurité à elle. Elle n’a plus peur que d’une chose, maintenant ; qu’il aille trop loin et cause des problèmes à Zan aussi. Leur relation est à nouveau aussi forte qu’avant, voir encore plus.

Pendant quelques mois, encore, Zan ne se concentre plus que sur deux choses. Aider la team à se reconstruire plus forte qu’avant, puis enseigner le ride à la fleuriste, pendant la nuit. C’est trop risqué pendant la journée. Il présente la nouvelle rideuse aux membres de E&A qui semblent l’apprécier aussitôt. Elle devient membre honoraire de E&A, avec une possibilité de vraiment entrer dans la team quand elle se sentira prête.

A partir de ce moment, le rideur blanc commence à bosser dans un bar clandestin tenu par sa team, un bar pour les rebelles. Plusieurs personnes semblent intéressées par l’endroit, et il doit fournir le bar plus souvent qu’a son tour. Il en vient même à payer de sa poche pour l’alcool qu’il va chercher, ne désirant pas voir la police surveiller les centre de vente de trop près.

Il garde profil bas et il boss au bar jusqu’à la rébellion, ou il donne un coup de main. En effet, certain G-Men véreux et policiers corrompu restent à la solde du président en voit d’être décapité. Ils sortent même des armes chargés de vraies balles pour s’attaquer aux rideurs. Le rôle du gringalet était, à partir de ce moment, de se promener dans la foule pour trouver ses vendus et leurs briser les bras, histoire qu’il ne puisse pas assassiner de sang froid qui que ce soit. Ce ne fut certes pas sans mal. Une balle lui est passé dans l’épaule gauche et une autre dans la main droite, mais malgré la perte de sang et la douleur, il a continué son travail en serrant les dents.

Pendant trois mois, il est resté hospitalisé. Le temps de guérison a été long et difficile pour le rideur. Lui qui est adepte de liberté, il se retrouvait cloué a un lit avec quelques livres a nouveaux. Kikumi, Lisane, Jikan et Kayn lui rendaient visite parfois, mais ce n’était pas à tous les jours. Quoi que oui, Kikumi y allait à tous les jours. Avoir vue son amant se prendre deux balles pour défendre de jeunes rideurs l’avait grandement touché et elle tenait à rester à son chevet autant qu’elle le pouvait.

Les trois mois de réhabilitation se sont aussi passés calmement. Réapprendre à bouger l’épaule n’était pas des plus difficile, mais la main, c’était autre chose. Quelques nerfs avaient été touchés, ce qui rendait l’opération délicate. Le gringalet en pleurait parfois de rage, tellement il avait peur de ne plus pouvoir utiliser sa main directrice. Mais le soutien moral de ses amis et de sa team l’aidaient à passer au travers de l’épreuve et il parvient à retrouver quatre-vingt-dix pourcent de sa mobilité. Il considère encore cela comme sa plus grande victoire à ce jour.

Depuis, il reste calme. Maintenant que les rideurs sont plus ouvertement accepté, il se promène tranquillement avec sa team, cherchant à s’amuser autant que possible tout en évitant les ennuis. Mais rester calme et ne pas attirer l’attention commence à lui peser, et il songe à se lancer à nouveau dans le nightmare pour tenter de monter aussi haut que possible. Qui sera son premier adversaire? Qui seront ses nouveaux amis et ennemis? Ces questions le font frémir d’impatience!

Nom du personnage de l'avatar : Setsuna Mudô de Angel Sanctuary
Talent particulier ? roliste et buveur de coca
Tu aimes les cornichons ? Seulement s’ils jouent de l’accordéon
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